La journée étendait son voilage sur la ville, dissimulant les contours des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, aglutiné au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderne ni traditionnel, un aisé machine aux touches effacées https://juliusvcfik.bloggadores.com/32867405/les-résonances-du-silence-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance