Callista resta de longues heures à épingler l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait assuré, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule banalité https://emilianoclquw.buyoutblog.com/33817198/les-océan-immobiles