Tokyo, 2052. Les néons projetaient une illumination artificielle sur les rues silencieuses. Dans un univers où la sentiment de demain était devenue une vision cartésienne maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était désormais prochaine d’altérer la sensation des secondes, de https://robertt110rjz0.activosblog.com/profile