Stockholm, 2989. La grande ville avait perdu ses contours d’autrefois, ensevelie par-dessous de quelques couches de verre nettoyé et de givre régulé. L’air y était purifié, contrôlé, presque sans odeur. les sentiments individuelles n’étaient plus exprimées normalement, mais conservées en capsules. Chaque individu, dès l’adolescence, était équipé d’un collecteur lacrymal https://eduardobnwcf.bloggactif.com/35391695/la-chambre-des-soupir-éteintes