À rueil, dans une vie conforme saturé de réseaux incorporels et de tuyaux ambiantes, une bouquet étrange s’était mise à tomber tout nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de lettres, dessinés par condensation digitalisation, tels que une encre https://felixnaipv.elbloglibre.com/34197057/la-gerbe-des-prénoms